Quand sécurité physique et numérique font bloc

Les frontières entre la sécurité physique et la cybersécurité s'estompent progressivement. Un nouveau partenariat entre les sociétés Cyber Security Management et High Security ambitionne d’offrir une sécurité à 360° aux entreprises belges. Une première en Belgique.

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La tendance à unifier les deux domaines de sécurité (physique et numérique) au sein d'une même structure n'avait pas encore été introduite en Belgique. 
C’est la raison qui pousse aujourd’hui l’entreprise Cyber Security Management à s’allier au spécialiste belge de la sécurité physique, High Security, pour offrir une approche à 360° à leurs clients respectifs. 
Ce rapprochement marque l’avènement de solutions physiques, mécaniques, électroniques et numériques dans un véritable plan global de sécurité. Et ouvre la voie à une sécurité globale et intégrée.

Les cyberattaques peuvent en effet avoir des répercussions tangibles, ciblant par exemple des infrastructures critiques telles que des centrales électriques ou des réseaux de distribution d'eau. Inversement, les infractions à la sécurité physique, telles que le vol ou le vandalisme, peuvent provoquer des pertes de données significatives. La convergence de la sécurité physique et numérique est donc essentielle pour prévenir de tels incidents, offrant une protection exhaustive contre une large gamme de menaces.

« Pour établir en qui ou en quoi l'on peut placer sa confiance, il est essentiel de pouvoir identifier les menaces. L'interaction entre la sécurité numérique et la sécurité physique s'avère donc cruciale pour offrir une solution de protection complète et robuste », explique Lionel Reul, CEO de High Security

La sécurité physique des entreprises est généralement renforcée par des dispositifs tels que les alarmes, les caméras de surveillance et les systèmes de contrôle d'accès. La sécurité numérique, de son côté, s'appuie sur des solutions à la fois logicielles et matérielles, incluant les pares-feux, les antivirus, les mécanismes d'authentification, la gestion des identités et des accès (IAM), ainsi que la détection et la réponse aux incidents sur les Endpoint (EDR).
 
« Cette convergence présente de nouveaux défis pour les entreprises, qui se trouvent désormais confrontées à la nécessité de gérer un éventail diversifié de menaces. Le partenariat stratégique en question vise à renforcer la capacité des entreprises à identifier précisément les menaces, à en comprendre en profondeur les implications et, surtout, à y réagir de manière plus efficace, voire à les anticiper », développe de son côté Peter Braem, CEO de Cyber Security Management.
 
L’alliance entre les deux entreprises de sécurité représente une avancée majeure pour les entreprises belges. 
Car, elles bénéficieront désormais d'une visibilité accrue sur les risques potentiels. 
La combinaison des expertises et des ressources propres à chaque domaine rend possible une identification et une résolution efficaces des vulnérabilités à différents niveaux de l'organisation, contribuant ainsi à une diminution substantielle des risques. 
Enfin, la collaboration étroite entre les équipes dédiées à la sécurité physique et numérique assure une réponse plus prompte et mieux orchestrée face aux incidents, optimisant ainsi la gestion des situations de crise.
 
La convergence est également synonyme de rationalisation des coûts, puisqu'elle permet d'optimiser les dépenses liées à la fois au gardiennage et aux technologies de sécurité. De plus, cet alignement offre un avantage considérable en termes de conformité réglementaire. 

 
 
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